A L L -A B O U T- H I MNOM:
Lee
PRENOM:
Jung-woo
SURNOM(S):
Jun
NOM
DE
CODE:
Jun Ki
AGE:
24 ans
NATIONALITE:
Coréenne
ORIENTATION
SEXUELLE:
Bi
SPECIALITE:
Pirate informatique
RÔLE
GOUVERNEMENTAL:
Créateur des messages publiques [Messager]
CARACTERE:
S’il est bien difficile de saisir le caractère d’un individu en termes assez brefs… Eh bien, il en va de même pour Lee Jung-woo, qui n’échappe indéniablement pas à la règle. Cet informaticien de génie n’a en rien un comportement aisé à comprendre. Impulsif, buté, parfois même lunatique, il est bien souvent insupportable tant il est imbu de lui-même et se comporte à sa guise. Moqueur, persiflard, il aime également à destabiliser et à jouer du ton doucereux, notamment sur les parasites qui viennent à le gêner. Il n’en est pas moins fidèle, autant à ses principes qu’à ceux qui lui sont chers – du moins, dans la mesure où cela correspond à sa propre définition de la fidélité. D’aspect extérieur on eut pu le croire dans l’excès de la servilité ; pourtant ce n’est pas le cas. Jung-woo préfère à polir son image, rasséréner les autres dans une attitude qui est la continuité même de leur mouvement, plutôt qu’à se rebeller à la manière de ces pathétiques Anybands – ce qu’il considère comme trop dangereux, tout autant pour leur système que pour eux-même. De manière générale, il préfère donc à jouer le rôle du mouton blanc auprès du berger – et quel berger- tant que cela reste à son avantage.
Et l’avantage qu’il a n’est pas à laisser sur le compte. Son côté manipulateur ne peut que s’en réjouir – le secret qu’il détient entre les mains reste son plus beau Joker. Parce que oui, Jung-woo aime à détenir les rouages entre les mains dans la pénombre, à savoir ce qu’autrui a peine à en douter, à posséder. Bien qu’il soit pour le moment encore trop loin de son principal objectif – le Master – il se sait patient et saura attendre – jouer des fils – jusqu’au bout.
Il arrive parfois qu’il ait des heures d’abattement, mais la plupart du temps son cynisme prend le dessus ; son humour des plus déplorables – et des plus cruels surtout – ne manque pas de le soutenir dans ces situations.
Afin de compléter son profil, il serait juste d’ajouter que comme tout être imbu de lui-même digne de ce nom, il est rancunier et jaloux. Qu’on se le dise – qu’elle se le dise.
DESCRIPTION
PHYSIQUE:
Incarnation même de l’androgyne, Jung-woo a tout pour plaire – et pour déplaire. Ce jeune Coréen au regard acéré, signe des profondes origines asiatiques coulant en son sang, aux lèvres finement ciselées et à la noire chevelure de jais aurait sans doute pu être une femme si la nature n’en avait pas voulu autrement. Pour son grand malheur parfois.
L’expression féminine de son visage est à la fois une qualité et le plus gros défaut s’y trouvant. A la fois délicat et parfois brut, il est sublime, presque parfait… dérangeant. Cet aspect décalé que lui offrent ses œillades parfois hautaines, sa bouche quelque peu dédaigneuse, le rend Reine des Glaces plutôt que Prince, à son grand dam. Et au plus grand mépris de certains qui le trouvent plus que répugnant, dans cette ambiguïté qu’il dégage.
Mais cela ne lui importe guère. Du haut de son mètre soixante-dix-huit, il porte déjà au monde un regard plus que significatif.
STYLE
VESTIMENTAIRE:
On eut pu le croire quelque peu négligé, au vu de son profil d’informaticien. Ce n’est pourtant pas le cas – bien que Jung-woo ressente le besoin, parfois, de ne rien mettre de plus qu’un T-shirt qui traînait dans le coin. De quoi briser une image d’un millénaire, mais étant de manière générale habillé plutôt décemment, il n’y a guère lieu de s’en outrager. Bien entendu, dès qu’il est dans l’obligation de sortir, Jung-woo vêt inévitablement un costume impeccable, comme s’il s’agissait d’un uniforme imposé ; mais le cas commun, il n’a guère de style vestimentaire. Il prend ce qu’il a, ce qu’il achète – ou vole - parfois sur un coup de tête à un site internet quelconque, ou ce qu’on lui offre. En terme brefs, ce qu’il a sur le dos ne le démarque absolument pas du reste du monde. Les seuls décalages qu’il se permet sont ses discrets bijoux – qu’il ne manque pas de mettre, comme s’il s’agissait d’une habitude.
MANIE:
Si l’on peut considérer le tabagisme comme une manie, alors il serait utile de noter que Jung-woo fume.
Dans le cas contraire, l’on déclarera simplement qu’il aime à taquiner – irriter – Kim Ah Ki, et qu'il attache ses cheveux pour bosser.
HISTOIRE:
Né lors d’un jour quelconque, dans un lieu quelconque, de parents de milieu quelconque, Lee Jung-woo a tout eu pour n’être qu’un banal petit garçon, un adolescent insignifiant, et par conséquent un adulte commun. Malgré tous ces détails plutôt prometteurs, ce fils de hackeur et d’hôtesse de l’air ne donna rien de ce qu’on attendait de lui.
Fourré dès sa plus tendre jeunesse sur l’ordinateur de son père et d’une apparence androgyne plutôt dérangeante, celui que l’on nomma plus tard Jun Ki avait déjà le don d’attirer à la fois foudres et tendresses sur lui. On admira bien souvent ses capacités à assimiler les nouvelles technologies sans aucun problème, et la force de son regard ; on murmura que l’on trouvait malsain cette passion trop poussée pour l’informatique et cette insolence qu’il avait.
Jusqu’à ses onze ans, il fut ce petit génie des Lee que l’on estimait et détestait à la fois – et il le leur rendait bien. Déjà écoeuré par les mensonges et les hypocrisies dont on le nourrissait, il faisait preuve d’un cynisme marquant et était désagréable avec quiconque lui déplaisait. Il n’eut pas beaucoup d’amis. On le qualifiait de « méchant garçon ».
On n’avait pas tort.
A la fin de la primaire, il avait déjà fait renvoyer la plupart de ceux qui le dérangeaient à leur insu et, à l’aide son père, créé un virus d’ampleur réduite. Ses parents ne surent rien de son caractère désagréable et, s’ils s’en doutèrent, ne le montrèrent pas.
Dès son entrée au collège, il sut que les gosses avaient passé un nouveau cap. Pires que les adultes, d’une cruauté inconsciente et méprisable, les pré-pubères exhalaient un insupportable parfum d’arrogance qu’ils n’étaient pas en mesure de porter. Jung-woo resta discret la première année, s’arrangeant néanmoins pour éliminer –envoyer dans un autre établissement - ses plus dangereux adversaires et pour surveiller – tout seul cette fois – le réseau informatique des lieux.
Au cynisme et à l’impertinence s’ajoutèrent divers comportements et caractères qui n’étaient pas à tout son avantage, alors que son étrange visage s’affinait plus encore, à son grand dam – le rendant plus laid encore.
L’année suivante ne l’arrangea guère. Pourtant, ce fut durant cette année qu’il les rencontra. Les jumeaux Joo déjà connus et reconnus pour leur ressemblance physique et leur force morale – leurs différences. Malgré lui quelque peu fasciné par ces frères qui, dans leur dualité, avaient leur existence propre sans avoir à souffrir de cette solitude parfois trop étouffante. Par le charisme qu’ils arboraient déjà, chacun d’eux, à leur manière.
Ils vinrent à lui pour la première fois deux mois après la rentrée, ayant entendu parler de ses capacités étonnante concernant l’informatique. L’un et l’autre attirés par de buts tout à fait différents. Jung-woo – si peu sociable pourtant – céda à leurs requêtes. Ils vinrent à plusieurs reprises par la suite, jusqu’à ce qu’il fut lui-même totalement apprivoisé, et qu’ils devirent, irrémédiablement, amis.
Malgré tout ce que l’on pourrait en croire, le Coréen eut plus d’affinités avec le cadet qu’avec l’aîné. Le premier lui paraissant parfois plus mature, plus serein, moins difficile à gérer. Alors qu’au contraire, le second allait constamment de l’avant – ce que lui-même avait toujours été incapable de faire -, fougueux, passionné, indéniablement dissipé. Indomptable à côté de son frère qui semblait aux antipodes tant il était discipliné – trop parfois, et c’est sans doute ce qui les perdit tous les deux.
Jung-woo n’ayant jamais eu d’instinct, lui qui ne fonctionnait que par chiffres, liens, lettres et codes, se trouva fortement au dépourvu lorsque l’un disparut du jour au lendemain. Son frère ne voulut rien lui dire, et, par ailleurs, ce fut la raison pour laquelle eux-même se séparèrent, sans trop de chagrin. Il ne s’agissait malgré tout que d’une amitié d’enfance, peu solide, dont ils se remémoreraient plus tard avec quelque mélancolie – ou pas.
Un an à peine après sa création, le Parti, sans s’en douter encore, venait d’accueillir son élément le plus important.
Jung-woo n’accorda aucune importance à sa montée. A vrai dire, il ne s’intéressait pas à grand chose et ce fut sans grande conviction qu’il passa ses examen, et obtint son diplôme. A ses dix-huit ans sa mère mourut dans un crash aérien. Il en souffrit comme en souffrirait tout bon fils qui n’a guère vu sa génitrice durant son existence. Son père sombra dans l’alcool, comme tout bon mari le faisait, se replongeant dans les rares souvenirs qu’il avait eu avec sa femme.
Un an plus tard, l’Organisation s’intéressait aux compétences de ce dernier. Le paternel Lee n’en eut cure et disparut dans d’étranges circonstances qui troublèrent cette fois quelque peu son fils, qui pour la première fois éprouva autre chose que de la colère ou l’amertume. Il commença à fumer. Néanmoins, comme tout ce qui touche l’homme, ce sentiment qu’il ne sut saisir finit par se brouiller, se dissoudre jusqu’à s’effacer.
Il finit par se présenter de lui-même au Parti avec une certaine indifférence. Passa le temps.
Qui s’arrêta à un instant où il ne s’y attendait pas.
« Master »Sur l’affiche, son visage. Son visage à lui et non celui de l’autre. Calme, sérieux, serein, ferme.
Beau.
Ji-Hoon. Lui qui avait cru oublier son nom, son visage, son existence même, fut surpris de découvrir qu’il n’en était rien. Que même aujourd’hui, il était capable de les différencier tous deux – comme s’il les avait vu grandir, comme s’il les avait bien longtemps contemplés.
C’était sans doute le cas.
Lorsqu’après quelques discrètes manipulations diverses, il put le rencontrer – en termes brefs un pur hasard généré par sa propre personne -, Jung-woo redécouvrit derrière les nouveaux traits que le temps et la vie avaient forgé sur
Master les anciens, les immuables, ceux-là même qu’il avait tant scrutés qu’ils s’étaient figés en sa mémoire.
Au premier abord, Ji-Hoon ne le reconnut pas. Il était vrai qu’il avait beaucoup changé, aussi. Si son regard était toujours aussi fier et arrogant, si son sourire restait indéniablement moqueur et indifférent, ce n’était pas le cas pour le reste de son visage. De la courbe de sa machoire à sa chevelure plus dense, il était passé de laideur à beauté en quelques pas – sans qu’il ne puisse se souvenir de quand datait ce changement. D’ailleurs il ne s’en souciait guère.
Seul, ce trouble qu’il éprouvait en la présence de Ji-Hoon parvenait encore à le tirer de cette indifférence qui faisait partie de sa vie comme un de ses organes.
Puis arriva l’autre.
Elle.
Ah Ki.
Rapidement, il s’aperçut que ça n’avait rien d’un
jeu. Qu’en quelques instants, elle avait réussi à se saisir de ce qu’il n’avait pu lui-même obtenir, sans doute parce qu’il avait été trop lent – trop désabusé. Pourtant, malgré ses regards vers elle, malgré ce qu’il semblait éprouver, Jung-woo décida que rien ne l’empêchait de faire ce qu’il voulait.
Tout ce qu’il voulait.
Et ce qu'elle était n'empêchait pas le Joker d'être dans
son jeu.
AVATAR :
Lee Jun Ki
A L L -A B O U T - M EPRENOM:
Tomoko
PSEUDO:
Gold
SEXE:
F, à ce qu'on raconte
AGE:
16 ans
FREQUENCE
DE
CONNECTION
SUR
7 JOURS:
2/7 en temps normal, 5/7 en période de vacances scolaires.
NOMBRES
DE
LIGNES
EN
RP:
Plus de 20, de manière générale. C'est selon.
A L L -A B O U T . T H E- F O W 'COMMENT
AS
TU
DECOUVERT
LE
FOW' ?
Techniquement, Hate & Love. Moins techniquement, Shiranui et Master (noms trop compliqués à retenir).
LE
CODE
DU
REGLEMENT:
Edit by Master: It's Good my dear <3DERNIER
MOT
A NOUS
DIRE ?
No talk, no play, no love.C'est la techno parade.